[vc_row equal_height= »yes »][vc_column][vc_custom_heading text= »LES NUITS DE FRANCE CULTURE par Philippe Garbit
Toutes les nuits à partir de minuit. » font_container= »tag:h2|font_size:24|text_align:left » use_theme_fonts= »yes » css= ».vc_custom_1526324194117{margin-bottom: 15px !important;padding-top: 25px !important;padding-right: 25px !important;padding-left: 25px !important;} »][vc_column_text css= ».vc_custom_1526324143359{padding-right: 15px !important;padding-bottom: 25px !important;padding-left: 15px !important;} »]En 2005, Natacha Wolinski proposait de suivre à la trace le photographe Mario Giacomelli, dans la collection « Mat ou brillant ? » de « Surpris par la nuit »[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][/vc_column_text][vc_column_text]Une sélection des podcasts de France Culture en lien avec la photographie.
Vous pouvez écouter le podcast de France Culture directement à partir du lecteur ci-dessous.
Né en 1925 à Senigallia, dans les Marches, près d’Ancône, et mort à Senigallia en l’an 2000, le photographe Mario Giacomelli est considéré par beaucoup comme le plus grand des photographes italiens, et par beaucoup aussi, comme l’un des plus grands photographes de son siècle.
Né pauvre, imprimeur-typographe de métier, resté toujours fidèle à sa ville, occupé toute sa vie par la peinture et la poésie, ce n’est que tardivement qu’il se tourna vers la photographie.
J’ai découvert que la photographie me permettait de faire des choses plus fortes« , disait-il.« Elle ne crée pas, bien sûr, et elle ne sait pas dire tout ce qu’on veut. Mais elle témoigne de notre passage sur cette terre, comme un carnet de notes.
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